Escapade alsacienne, coté alsace

 

(Merci à toi d'avoir pris le temps de me donner ta version de cette super 1ère rencontre !

Et merci de m'autoriser à la publier ici.

Joli coup de plume !)

 

Oh Marie si tu savais ....
 
Comme j'ai attendu ce moment ! Tu m'avais tellement donné envie de toi au travers de nos échanges toutes ces dernières semaines.
Merci d'être venue jusqu'à moi. C'était presque insensé de l'imaginer au début et pourtant.
J'ai trouvé en toi une complice, une amante, une confidente que j'espérais un jour rencontrer au hasard de mes escapades coquines sur le net. Nous sommes tellement semblables tous les deux, c'est assez incroyable et si rassurant.
 
Tout avait été soigneusement organisé ce samedi là et pourtant, je n'étais pas tranquille, sans doute la peur d'être pris ou qu'un événement quelconque vienne contrarier nos plans.
J'attends ton coup de téléphone vers midi ou même plus tard. Il sonne bien avant midi, tu as eu un imprévu, tu seras en retard.
J'en suis presque soulagé, je vais pouvoir souffler, je cours et je stresse depuis le matin.
Finalement, tu rappelles assez vite, tu as roulé vite, tu es incorrigible. Je me mets de suite en route pour te rejoindre au point de rendez vous. Tu m'y attends déjà quand j'arrive. Je te dépasse et te fais signe de me suivre, nous sommes vite à l'hôtel . Tu te gares juste à coté de moi, je te rejoins dans ta voiture. C'est le première fois que nous nous voyons, mais tout de suite nos lèvres se cherchent. Je me bats quelques minutes avec la machine qui va nous délivrer le précieux sésame, heureusement, tu es là pour m'aider ! Le temps de monter à l'étage, de trouver la somptueuse suite 219 et nous voila debout, collés l'un à l'autre, coincés entre le lit et la desserte de la chambre. Il fait beau depuis trois semaines mais pas de chance, aujourd'hui, il fait gris et sombre, ce qui rend cette toute petite chambre un brin tristounette. Mais qu'importe, l'essentiel n'est pas là, nous nous retrouvons enfin après avoir à peine osé l'imaginer tant cela paraissait un peu fou et improbable.
 
Et pourtant tu es bien là Marie, serrée dans mes bras. Nos lèvres ne se quittent plus, comme c'est bon de t'embrasser. Je crois que je pourrais y passer l'après midi, j'aime ta bouche. Je finis quand même par m'enhardir, je glisse mes mains sous ton petit pull pour sentir ta peau nue sous mes doigts. En fait, je suis totalement incapable de dire ce que tu portais, trop occupé que j'étais à t'embrasser et t'étreindre. Je ne saurais plus dire non plus à quel moment je te l'ai enlevé. Tu en fais de même avec moi, je me retrouve torse nu contre toi, seul ton soutien gorge a encore résisté, mais il ne tarde pas à tomber lui aussi. J'ai trop hâte de découvrir et toucher ta somptueuse paire de seins. Pour une fois que je parviens à la première tentative à dégrafer un soutien gorge ! Je pose mon regard furtivement sur ta lourde poitrine, mes mains ne tardent pas à s'en emparer et ma bouche ne résiste pas longtemps à la tentation de suçoter tes tétons déjà durs et dressés. Nos baisers et nos caresses se multiplient, nous sommes toujours plantés là, ce qui me fait dire qu'on pourrait peut être négocier le prix de la chambre si on finit par ne pas utiliser le lit.
Je me laisse glisser à genoux pour entreprendre d'enlever ta jupe. Elle file au sol, j'en profite pour passer mes mains sur tes fesses nues. Je me redresse, t'enlace, te caresse le dos, les fesses. Je commence à faire glisser doucement ton string sur tes hanches mais tu ne me laisses même pas le temps de me mettre à genoux pour me retrouver à hauteur de ton sexe et d'en apprécier le dessin, tu l'as déjà fait tomber à tes pieds. Tu ne tardes pas à me débarrasser de mon slip et à venir délicatement empoigner mon sexe.
Nous nous caressons, nous embrassons, toujours debout, collés l'un à l'autre. C'est bon de te sentir nue contre moi. Je finis par me décider à te pousser un peu vers le lit. Tu ne mets pas longtemps à comprendre ce que j'attend de toi. Je te souhaitais indécente, impudique, salope, je ne suis pas déçu. Tu te retrouves à genoux au bord du lit, cuisses ouvertes, en levrette. Dieu que ta croupe est belle et attirante. Je tombe à genoux, mes mains se promènent sur tes fesses, ma bouche aussi. Je ne résiste pas longtemps à l'envie de venir fouiller ta fente avec ma langue. C'est un délice. Ton cul est une offrande Marie. Je me régale de ton intimité mais je ne tarde pas à quitter ton sillon juteux pour déguster ton petit trou qui me nargue.
Il est tout aussi délicieux, je pousse ma langue autant que je le peux. Je prend un plaisir fou à butiner ta croupe, à la fesser aussi car je sais que tu aimes. Mes doigts sont venus rejoindre ma bouche pour te fouiller, je ne saurais plus dire qui des deux va provoquer ta jouissance. Elle arrive d'un coup, tu te mets à hurler ton plaisir. L'espace d'une seconde, j'en suis presque gêné car je me demande ce que vont penser les autres clients de l'hôtel mais très vite je me ravise et au contraire, je prend un plaisir certain à entendre tes cris de jouissance et à espérer que beaucoup les entendent. Oh que j'aime ta croupe Marie, elle est si belle.  
 
Tu m'attires alors sur le lit, je me retrouve à genoux, les fesses sur les talons et ta bouche vient engloutir ma queue dressée.
Je suis aux anges, j'adore cela et tu m'as souvent avoué en raffoler aussi. Très vite je m'aperçois que tu es une divine suceuse, sachant parfaitement alterner les baisers et les caresses plus ou moins appuyés pour m'emmener tout au bord du plaisir sans jamais y céder mais au contraire en faisant durer encore et encore ce délicieux supplice.
Longuement, très longuement, tu vas me sucer, me branler, faire courir ta langue et tes lèvres expertes sur mon gland dilaté, tout le long de mon sexe, tu vas empoigner mes couilles, quel bonheur !  Pendant tout ce temps, mes mains ne restent pas inactives,
elles se promènent sur ton corps, cherchent tes seins, attrapent tes tétons, viennent te fesser. Mes doigts s'insinuent entre tes fesses, caressent ton anus, le pénètrent. Plusieurs fois tu m'arrêtes, il semblerait que je maltraite un peu trop ton clitoris. De ton coté, tu n'en finis plus de me sucer, c'est tellement bon que je n'ose t'interrompre mais je finis par m'y résoudre. A de multiples reprises, tu m'as amené au bord de l'explosion, rendant cette interminable fellation toute aussi délicieuse que la plus intense des jouissances mais je veux à mon tour te donner du plaisir.
 
Je t'installe tout au bord du lit, en levrette et saisis un préservatif que je passe rapidement. Je présente mon sexe dressé entre tes cuisses, le fais glisser dans ta fente avant de trouver ce que je cherche. Je m'introduis doucement, je suis de suite surpris de l'étroitesse de ton sexe. Quelques va et vient et rapidement nous jouissons ensemble. C'est bon de t'entendre jouir, c'est bon de m'agripper à tes hanches pour pistonner ta jolie croupe. L'instant d'après, nous sommes allongés sur le lit, serrés l'un contre l'autre à nous étreindre, à nous embrasser délicatement. Nous restons longuement ainsi, à nous regarder, les yeux dans les yeux, à nous bécoter, sans un mot. Nous sommes bien, dans cette semi obscurité, il faudrait peu pour que l'on s'endorme.
Je te fais remarquer, amusé, que nous sommes d'habitude bien plus bavards devant nos écrans, tu étais en train de te dire la même chose !
 
J'ai faim ! eh oui, j'ai toujours faim après l'amour. Tu m'envoies me chercher un truc au distributeur dans l'entrée. Pas de chance, il ne veut rien me donner, je prend tout de même une boisson dans celui d'à coté. Quand je remonte, tu t'es couverte avec le drap, tu me dis que tu as froid. Je te rejoins vite et me colle à toi pour te réchauffer. Nous nous remettons en mode " veille ".
C'est toi qui reprend l'initiative, je sens ta main venir se poser sur mon sexe pour chercher à lui redonner vie ! Tu ne tardes pas à lui faire retrouver toute sa vitalité, nos baisers et nos caresses reprennent de plus belle. Tu me pousses sur le dos et te laisses glisser à hauteur de mon bas ventre, je me laisse faire, je ne sais que trop bien ce qui m'attend et comment y résister.
Ta bouche habile et gloutonne et ta langue me prodiguent un immense bien être, tes mains qui me branlent doucement, m'empoignent les testicules et me titillent l'anus sont tout aussi délicieusement affolantes.
J'avais le matin même acheté dans la hâte des bandeaux pour les cheveux pour jouer avec toi. Je pensais te nouer les mains dans le dos et te bander les yeux pour profiter de tout ton corps dans une sorte de jeu sado-maso très soft. Ils sont là, dans la poche de ma veste, mais je ne vais pas les sortir, je n'ose interrompre ce pur moment de plaisir qui semble te ravir tout autant que moi.
 
Mais à trop vouloir faire durer ce plaisir intense et subtil et repousser mes limites, j'ai certainement trop tardé. Quand je me décide à me libérer de ton emprise pour te remettre en levrette avec la volonté de gouter enfin à ton joli petit cul et te sodomiser, ma virilité semble donner des signes de faiblesses. Je remets vite fait un préservatif et je cherche à pénétrer ton anus, mais en vain.
J'essaie bien de redonner vigueur à ma queue un peu molle, mais rien n'y fait, tu es trop étroite. Après plusieurs tentatives, tu me lances en riant que tu n'es plus assez mouillée; ce à quoi je te répond que de mon coté je ne bande plus assez en me laissant tomber sur toi dans un éclat de rire.
Au lieu de me sentir un peu gêné, ton humour a parfaitement su transformer ce petit moment de solitude en un instant drôle et complice. Nous restons encore quelques instants enlacés, mais tout a une fin et il va falloir songer à se séparer.
Un petit baiser avant de reprendre place dans nos voitures respectives et nous nous quittons. Un dernier petit geste de la main quand tu me dépasseras sur l'autoroute. Merci Marie pour ce moment si excitant, si sensuel, si tendre !