L'amour est dans le pré...

 

Il est 14h15, j'ai un quart d'heure d'avance. Je l'attends sur le parking où on s'est donné rendez-vous. Il me dit qu'il termine dans 10 min et il sera là un petit quart d'heure après moi.

Je descends de ma voiture, monte dans la sienne. Un long baiser en guise de bonjour. On est sur un parking de supermarché, à 3 minutes de son boulot, mais il a l'air de s'en ficher.

Il démarre et j'en profite pour lui demander où il a l'intention de m'emmener. Il me répond qu'il a repéré un petit coin qui lui parait bien tranquille où on pourra être tous les deux. Il me précise que même si on est pas l'un dans l'autre, passer du temps ensembles, c''est déjà "magique"...

Je suis nerveuse, il le remarque. Ca le fait rire, lui va bien, "impec" comme il dit.

Il roule, sa main droite se glisse sous ma jupe, il caresse la dentelle de mes bas, sa main s'insinue plus entre mes cuisses, il caresse le tissu du string.
On arrive vers une habitation abandonnée, il y a des granges ou des garages sur le fond. On peut se garer facilement. Il va se mettre là, planquer un peu sa voiture derrière le bâtiment. Je trouve que la route est plutôt proche, mais bon, il a l'air de savoir ce qu'il fait !... ou pas... (sourire)

Il fait super beau, il fait bon... et rester dehors ne me dérange pas le moins du monde. Je dirais même que j'apprécie énormément. Il sort une bâche de son coffre, jai oublié de prendre une couverture. Il y a des prés à perte de vue, un petit verger derrière la propriété. On va s'installer là. On s'allonge. Je remarque qu'un buisson nous cache de la route, et que les herbes hautes nous cachent tout court. Ca me fait rire. La dernière fois que je me suis installée dans l'herbe, je devais avoir 20 ans. J'ai plutôt été m'amuser en fôret, bizarrement. Il me fait la remarque que lui aussi, mais qu'il voit qu'on avance en âge, parce qu'avant, y'avait pas la couverture ! C'était directement les fesses sur les petites bêtes...

Je me sens bien, mon stress redescend, alors que le sien commence à monter ! Mais on est là, allongés comme des ados... il me câline, je suis blottie dans ses bras. Les baisers sont doux, longs, c'est plein de tendresse avec des fraises dedans !
Il va ouvrir mon gilet et trouver la guêpière. Effet immédiat, il avance son bassin et le colle contre moi. Guêpière forme bustier, il n'y a pas de bretelles, j'ai donc ma poitrine en "libre accès"... Et le voilà plongé entre mes seins ! J'aime la façon dont il les embrasse, la façon qu'il a de tirer sur les tétons avec ses lèvres, la façon dont il me les mordille. Il me fait mal, mais cette douleur est un plaisir. Et se ressent immédiatement entre mes jambes. Je l'attire vers moi, je suis désormais allongée sur le dos, il est entre mes jambes. Il m'embrasse et me caresse longuement..
Je rigole et lui fais la remarque que nous sommes installés sur une bâche de 3m de long et que j'ai la tête dans l'herbe ! Il se recule, me chope les hanches et m'attire vers lui. Mais il va descendre encore davantage, et poser sa tête sur une cuisse. Il me remonte la jupe sous les fesses, m'écarte le string et commence à me caresser. Et sa langue va se joindre à sa main. Et un doigt va s'enfoncer sans ménagement entre mes fesses. Je me soulève pour atténuer un peu la douleur ... Mais sa langue ne s'arrête pas pour autant. ... Et je vais vite m'habituer à cette masturbation, il ne va pas me falloir beaucoup de temps avant de me mettre à crier ma jouissance... Il va s'arrêter, remonter vers moi et venir m'embrasser. Je lui ouvre son jean's... Il m'embrasse en recommençant à me caresser. Je vais m'emparer de son sexe qui est déjà gonflé. Et on se masturbe l'un l'autre tout en gardant nos lèvres collées... Je souris, il stresse à chaque voiture qui passe. Il me dit qu'il a, à chaque fois, l'impression que les voitures qu'on entend tournent pour venir se garer...

Décidément, on stresse en décalé... Moi, ça y est, à mon tour d'être "impec"... Je me sens bien, je pourrais rester là pendant de longues heures !
Et une petite pensée... il est entre mes jambes, je les ai repliées, il a son jean's sur les cuisses.

On est enlacés, il me dit qu'il veut prendre son temps... "mademoiselle, vous allez patienter un peu ... avant de me faire jouir", me dit-il. Je lui réponds qu'il est hors de question qu'il reparte sans avoir jouis, justement !"... Il va basculer, je vais retrouver assise sur lui, il a ma poitrine dans ses mains, dans sa bouche. Je dégraffe la guêpière qui me gêne. Je la pose à coté de moi, je ne porte que mon gilet noir, entièrement déboutonné. Ma poitrine toujours dans sa bouche, ses mains chaudes me parcourent le dos.... Je fais glisser mon string contre son érection... Il commence à faire très chaud... on est en plein soleil, et j'adore ça, malgré la crainte que j'avais au début de ne pas apprécier l'endroit.

Un tracteur passe pas très loin, mais le buisson nous cache. Il stresse. Me fais me coucher à côté de lui. Mais le fermier perturbateur ne fera que passer, pour moi, il ne peut pas nous voir... Il va s'éloigner jusqu'à disparaître. Et on continue, enlacés l'un à coté de l'autre. On se fait face, ... il est doux. Mais je sens qu'il freine un peu sa fougue. je lui chuchote que la tendresse, mêlée à un peu plus de fermeté, ce n'est pas fait pour me déplaire. Il me sort un sourire éclatant."Ah bon ??" ... Et continue à lui chuchoter... "tu sais, je fais partie de celles qui aiment la fessée...."

Et à peine le temps de respirer que sa main s'abat sur une fesse. La vache, ça claque... mais je gémis de satisfaction... J'ai son pénis dans mes mains... et je le taquine en lui disant que je ne suis pas la seule à apprécier ça !! Son sexe a augmenté de volume au moment où il a fait claquer la paume de sa main sur ma peau.
Et je vais me trémousser contre lui pendant que 3 ou 4 bonnes claques tombent sur ma fesse.

Ses fantasmes... à propos, quels sont-ils ? Il me répond qu'il est en train de le réaliser...

Qu'il avait longtemps rêvé à trouver une femme avec laquelle... la magie pourrait opérer. Le sexe pour se vider, ne l'attire pas. Il pourrait avoir sa femme pour ça. Il a envie d'une réelle complicité amoureuse, avec quelqu'un d'ouvert, avec une douce compagne, aux formes qui le rendent dingue. Avec une douce compagne sexy et pleine de sensualité.

Je n'ai que deux mots à lui répondre... "on s'attache". Il plonge ses yeux verts dans les miens, il ne me répondra rien, et il vaut mieux ne pas lancer le débat.

L'étreinte va reprendre, plus belle, avec plus de fougue. On roule, il est à nouveau sur moi, entre mes jambes. D'une main il va écarter mon string et d'un seul coup, il va entrer profondément en moi, m'arrachant un cri de douleur. Il cogne, plutôt violemment... et j'adore ça ! Je crie à chaque coup de rein, j'aime sa force, et comme samedi, je vais le sentir couler entre mes jambes, il ne s'arrête de me pénétrer pour autant, toujours autant d'entrain, toujours autant de violence dans les coups de rein... Je le taquine : "toujours pas débandé entre 2 jouissances ?... Il plonge ses yeux dans les miens, il sourit et me dit "non... tu me fais un de ces effets !" ....

Et il va s'écrouler de tout son poids sur moi dans un grondement... Je suis ravie, enfin il assume de jouir sans rester dans un silence qui me perturbait un peu jusqu'à maintenant... Comme si jouir était "honteux", comme si ça ne devait pas se savoir... C'est marrant les interprétations qu'on peut faire des choses, parfois...

Il reprend son souffle, se retire. Mon string se remet en place, il est couvert de sperme. Il va s'écarter totalement et je vais carrément le retirer. Il a des lingettes dans la voiture, il va y faire un bref aller-retour. C'est l'inconvénient des après-midi ensoleillés, le confort est ... réduit.

On va s'allonger, papoter, il va savourer une cigarette, on va se papouiller le temps qu'il nous reste.
Il me fait la réflexion que depuis 8 jours, quand il arrive au boulot le matin, il remarque qu'il en a déjà fumé 4. Ce qu'il ne faisait pas avant. Qu'il songeait même à arrêter, mais que depuis que je suis dans sa vie, il est motivé à autre chose !
On ne sait pas quand on va pouvoir se revoir, il ne doit pas non plus abuser des mercredis après-midi, et les excuses "déménagement" ne fonctionnent pas tous les samedis... Ce n'est pas grave, qu'on se voit moins souvent si on n'a pas le choix...

 

Tant que ça reste intense comme ça l'est pour le moment.