Premiers échanges....


Bonsoir, j'aimerais faire votre connaissance. Votre annonce délicieuse est craquante.. Et qui sait ce qui peut advenir de s'ouvrir pour se découvrir en toute simplicité ? Peut-être rien ! Ou peut-être une belle amitié. Peut-être encore la magie des affinités et le plaisir d'une rencontre insoupçonnée. J'espère à bientôt... S


Bonjour S, 
Justement on ne peut rien prétendre, on ne peut qu'espérer que l'alchimie fonctionne...
Marie


Bonjour Marie,
L'alchimie... Cet animal capricieux et sensible qui se nourrit du charme d'une personne pour susciter en une autre ce petit miracle qu'est le désir. 
Et quand deux désirs se sourient, l'onde anxieuse et frissonnante de l'aveu devient vague de chaleur profonde, une vague de vie.
Mais au commencement est le charme, dont les facettes brillent ou non selon les yeux qui le regardent. Là aussi un "rien" peut faire la différence, une petite magie qui fait deviner des couleurs plus intimes que la seule apparence à qui peut les aimer, les désirer.
S


Tout cela est joliment dit.... Ça donnerait presque envie ! En réalité, ça donne envie ! Le charme oui, bien plus important que le physique. Même si le premier regard reste important... Le charme qui mène au fantasme, à l'envie de sentir, de toucher, de caresser....
Marie


Je vous lis avant de reprendre le travail, et je nai pas le temps maintenant de vous écrire comme je le souhaiterais, comme vous le méritez... Vous n'imaginez pas l'effet que votre message me procure... Ce matin en vous écrivant je ressentais un début de désir. Là c'est une explosion d'images et d'émotions fortes, douces, chaudes qui m'ont envahi dans l'instant, fantasmes délicieux... J'avoue maladroitement que j'espère que le charme opérera entre nous... car vous me donnez l'envie de voir, de sentir, de toucher, de caresser, de goûter le sucre de la peau, le miel du désir...
S.


Oui, les cinq sens en éveil ! Les choses sont douces, dites avec tendresse.... Et pourtant. On sent bien que ces petits morceaux de fraises n'attendent qu'à exploser dans un magnifique feu d'artifice ! Vous ne trouvez pas ?

Marie


Oh oui Marie.... Je trouve la même onde que vous...
Cette douceur, cette tendresse des mots échangés, des mots que vous m'inspirez par les vôtres, évoque pour moi la couleur rose tendre et raffinée de la sensualité... Mais d'une sensualité déjà brûlante bien qu'encore toute en retenue. Le sensualité où plaisir et supplice de l'attente font l'amour déjà, autant en celui qui donne la caresse qu'en celui qui la reçoit... C'est bon, c'est chaud... Et bien sûr le rose vibre, se tend, gémit, s'ouvre encore à la chaleur. Le rose est vif maintenant, il n'attend plus que de virer à l'abandon du rouge... 
S.


Une sensualité... Toute en retenue. Oui... Comme deux mains, proches l'une de l'autre, chacune crève d'envie d'effleurer sa voisine... L'atmosphère se trouble.... L'air qui règne est pesant et troublant.... Par de petits prétextes les mains bougent mais par timidité et pudeur, elles ne se rapprochent pas.... Elles peinent à se toucher. C'est juste génial comme sensation......

Marie


Une sensation où le coeur bat un peu trop fort, où la tête s'embrume, où le désir s'enflamme en secret. Mais comment faire ? Oser dépasser sa timidité, découvrir à l'autre sa fragilité, son désir. Mais comment faire sans tout gâcher, sans aller trop vite ? Tout va se jouer dans ces moments, et le bonheur ou la déception sont au bout du geste. Le regard exprime t-il un peu la tempête vécue, le regard de l'autre frémit-il un peu en retour ? Comment savoir, lire l'autre quand on est perdu ? La main se rapproche mine de rien, un verre à prendre, à caresser sans y penser, et puis n'y tenant et sans plus réfléchir, un doigt ose frôler le doigt désiré et si proche... Frisson du contact, chaleur aux joues. Le doigt convoité va t-il se retirer poliment, scellant la mort de l'espoir ? Ou va t-il rester, répondre à son tour, petit frôlement grand comme une délivrance, une caresse partagée de coeur à coeur... Alors les doigts continuent de se découvrir, de s'apprécier, de se sentir peau contre peau, comme deux danseurs nonchalants cachant bien leur jeu. Peut-on déjà être sensuel dans ce ballet digital, ou faut il se retenir de peur d'effaroucher ? Le doux supplice recommence, adouci certes par le petit bonheur précédent. Tout est si fragile, et le restera je le sais, et c'est tellement bon de se sentir fébrile pour cela. De l'espoir d'un premier baiser d'amant donné sur ses lèvres, au fantasme du premier baiser donné au creux de son intimité...
Que le temps peut sembler long alors, à faire semblant d'être maître de soi, à attendre et chercher l'occasion du rapprochement suivant. Ses yeux me disent-ils oui ? Ose...

S


Il y a un rapprochement. Je ne sais pas lequel aura fait le premier pas... Mais ces doigts qui s'effleurent à peine font déferler une vague de frissons. Que ce premier moment ne s'arrête jamais..... Les peaux se trouvent, les regards se perdent , le bruit du monde autour s'éloigne, le temps s'arrête, plus un mot, deux respirations qui se retiennent de s'emballer. Et les doigts se trouvent... Ils s'entremêlent, se caressent le plus doucement possible. Deux mains, à cet instant précis nous ne sommes plus que nos mains. Douce sensualité. Doux moment de détente où les caresses nous font rêver à davantage de gestes de tendresse. On imagine une fougue, à s'embrasser. Je la veux cette main, tenant mon cou, votre bouche sur la mienne.....

Marie


Quel moment divin... Ces doigts qui s'entremêlent lentement, se caressent tendrement, se font l'amour presque, expriment le désir pour l'autre, un désir mutuel et c'est si bon de désirer et d'être désiré mutuellement. La réserve encore, un peu de timidité encore, et le plaisir de cette sensualité à fleur de peau n'empêchent le désir de plus... Mon désir est brûlant pour vous, et je sens le vôtre. J'ai envie... Envie de vous... Un baiser pour exprimer mon feu... Ce baiser je le donne sur votre main, ce baiser je le veux doux, léger, presque solennel pour montrer mon respect, pour remercier cet instant de bonheur, pour déposer mon désir tendre. Je vous sens troublée autant que moi et je craque, plus rien d'autre ne compte autour de nous... Ma main effleure votre joue, je me rapproche encore, vous invite doucement vers moi... Nos regards se croisent, nos désirs y brillent et se coulent l'un dans l'autre éperduement... L'âme est en feu, mais les gestes restent de fébrile tendresse. Les yeux se ferment peut-être pour mieux ressentir ce qui va suivre... Le désir nous rapproche encore, nos lèvres se rencontrent... S'effleurent mais c'est trop fort maintenant... Mon désir pour toi est tendu au maximum, le coeur a chaviré, l'explosion d'émotions a lieu... Mes lèvres se posent sur les tiennes, n'y croient presque pas tant cette sensation est délicieuse... Elles découvrent les tiennes les goûtent et les aiment tendrement mais incapables de cacher la fébrilité désormais... Tes lèvres répondent aux miennes, rivalisent de sensualité s'entrouvrent de désir....

S.


Ta main tendre m'attire doucement... Plus tu te rappproches et plus mes yeux se ferment doucement. Pour me laisser porter, pour ne pas reculer, pour savourer toutes les secondes de cet instant... Ces précieuses secondes du tout premier baiser. Ta respiration est chaude, la mienne est retenue... Nos lèvres se rencontrent, se touchent pour la première fois. Un baiser tendre et délicat. Nos coeurs battent la chamade. Les lèvres s'entrouvent délicatement, nos langues s'emmêlent à leur tour. Ma main te caresse le visage... Tout est douceur. Par retenue. La fougue qui cherche à nous submerger nous fait brûler littéralement l'un pour l'autre. Le baiser s'arrête quelques secondes mais ton visage reste très près du mien. Je soupire.... je tente de redonner de la lenteur à mon souffle.... Je te veux. Je fantasme. Je veux tes mains sur moi. Je veux découvrir chaque centimètre de ta peau... Mon dos se cambre, instinctivement....

Marie


Mon dieux quels mots, quelles images, quelles émotions tu me donnes... Délice inouï et petit supplice à la fois, alors que je dois retourner au travail, alors que bat mon coeur, que mes sens se tendent vers toi. Que c'est dur de devoir arrêter maintenant mon message, de ne pas te respirer déjà et vivre ces mots. Tu m'ennivres, Marie, merci....
Je t'embrasse.... S.


Je ressens la même chose... Voilà le début de la petite alchimie.... La magie complexe des attirances. On imagine les regards par moment charmeurs, et à d'autres fuyants... Moi aussi j'ai les sens en émoi. Un sourire idiot sur les lèvres...

Marie



La sensualité est une magie pour les sens, et la tienne m'envoûte littéralement, le charme est total, je ne suis plus qu'émotions et désir quand je te lis, quand je t'imagine. Mes mots sont mon ressentis bruts, à peine lissés par cette retenue que nous aimons tous deux. Je ne te dis pas tous des fantasmes qui me prennent, mais ceux que j'écris, les ressens, presque physiquement, je les vis, déjà un peu...
J'explose de plaisir en t'embrassant, en vivant ce miracle du charme réciproque, de ton offrande, et la mienne acceptée. Tes lèvres sont une vallée douce et chaude et tendre et humide, je ne me lasse pas de les déguster encore et encore... Ton souffle un peu court augmente les battements de mon coeur... J'ai ressentis ton dos se cambrer instinctivement, déclenchant un déluge d'émotions que j'ai du mal à retenir. Je me forcerai au supplice, le tien le mien de la retenue. Mes mains seront lentes à parcourir ton corps, à le caresser centimètre par centimètre, et à goûter pleinement le plaisir déjà divin de simplement te serrer dans mes bras. Je serai lent à atteindre mon but ultime, lieu de ton plaisir, ton cambré qui appelle la caresse comme une sirène pour le marin que je suis dans cet océan des sens que nous créons ensemble. Ta joue, ton cou seront mes objectifs premiers, tandis que ma bouche continuera de faire l'amour à la tienne. Puis tes épaules et tes bras... Je fermerai les yeux pour mieux te voir de mes doigts, mes oreilles n'entendront que ton souffle, peut-être quelques manifestations de désir, de plaisir... Mes mains voudront toute ta peau, en perdront la boussole, hésiteront sur leur prochaine destination... Moi aussi je te veux... Le désir est si rouge depuis longtemps déjà, le cheval retenu dans son box piaffe de l'ivresse désormais enfin promise. Je veux te sentir de mes doigts, te caresser de mes lèvres, te gouter de ma langue... Toute entière livrée à mon regard tendre et fou, à mes caresses enivrées... Envie de tes seins, envie de la cambrure de ton dos, envie ton cou, envie de t'embrasser à l'infini, envie de te faire perdre la tête comme je la perd en ce moment, envie d'impudique maintenant... Et pourtant mes mains ne suivent pas mon coeur, elle restent encore dans la retenue... Je sais que tu sens mes émois tiraillés, et je devine les tiens.... Ton dos se cambre encore, mon corps se tend encore plus, bandé comme un arc par mon désir de toi...
Je te veux.... S.


J'éprouve un plaisir fou à te lire. Moi aussi aussi je vibre au creu des reins... Moi aussi je fantasme au rythme des mots... Je veux ta bouche et tes mains sur moi.... Je veux frissonner de désir, je veux gémir de plaisir. Je veux ce baiser interminable et magique. Tes doigts, tes effleurements, ta douceur et ta tendresse sont un appel à des vibrations plus volcaniques.... La flamme rouge ne cesse d'être alimentée par nos désirs. Mes seins se tendent vers toi, gonflés par tant d'envies charnelles. Mes cuisses se pressent l'une contre l'autre. Je suis nerveuse par tant de sensations montantes... Je maîtrise tant bien que mal toutes ces émotions qui explosent. Ma tête au creu de ton épaule est le signal d'un total abandon, de toute l'offrande dont je suis capable. Prends.... Prends tout.

Marie



C'est si bon de te voir t'abandonner ainsi au creux de mon épaule... Ma bouche quitte tes lèvres pour déposer un baiser sur ton front... Puis revient goûter le plaisir tes lèvres, faisant craquer la digue de l'émotion animale... Mes mains restent douces, lentes, elles se contentent encore de tes formes mais tu sens maintenant qu'elles aimeraient traverser le tissus... Une main te tient tout contre moi, ma chérie... Nos chaleurs s'échangent, nos poitrines se pressent, tandis que l'autre main revient prendre la tienne, nos doigts s'emmêlent à nouveau, prélude à la fusion de nos corps, notre baiser s'enflamme tandis que ma main se pose maintenant sur ton ventre... Elle le parcourt tendrement, remontant vers ton sein...Elle s'arrête à son contact pour gouter le plaisir de ce nouvel instant... Elle remonte encore, l'enveloppant doucement , avec une émotion fébrile, fragile... La caresse commence, très tendre, mon coeur te remercie pour le cadeau de ton abandon... Que j'aime caresser ton sein, sentir sa tendresse, sentir le téton se durcir sous le tissus... Comme j'aimerais y poser ma bouche... Plus tard... Ma main est la fête, mon coeur danse de joie, en même temps, j'ai peur, peur de ma maladresse, peur de na pas être à la hauteur... Mes baisers se forcent à calmer leur jeu pour te permettre de sentir ma main qui vient de quitter ton sein... L'autre l'appelle aussi doux, aussi bon que le premier... Je te voudrais nue contre moi nu pour caresser ta peau de tout mon corps... Ma main descend maintenant sur ton ton ventre, elle va un peu plus, pressée par le désir qui n'en peut presque plus d'attendre... Elle atteint la naissance de ton pubis, s'arrête encore pour se délecter de l'instant, mon sexe incontrôlé vibre et glonfle, impudique, lutte contre le tissus...nos lèvres deviennent folle de désir... Ma main descend lentement, légère, je sens presque la chaleur sous le tissu.. Tes cuisses se tendent, ton souffle est court, le mien je ne sais plus, je ne suis plus que ma main en ce moment, émissaire de mon désir, de mon coeur fou , de mon esprit animal libéré de la gangue des convenances, de mon sexe qui voudrait déjà être à sa place... Je résiste... Ma main glisse vers tes cuisses, les caressent, s'immiscent doucement, les écartent tendrement, leur caresse l'intérieur ... Une descente vers un genou encore... J'en caresse le pli intérieur avec toute ma tendresse... le saisit doucement et remonte lentement ta jambe jusqu'à ce que ton pied se cale dans cette position... J'écarte cette jambe, ouvrant progressivement l'intérieur de tes cuisses... Ton offrande alors me chavire, j'imagine déjà ma tête entre tes cuisses... Je lutte pour ne pas te mettre à nue sur le champ... Ma main se délecte encore de ta jambe, descend vers ton pied, le caresse tandis que ne cessent pas nos baisers... Que c'est bon de sentir ainsi offerte, que c'est bon de se sentir gonflé de désir... Ma main chanceuse reprend son cours inverse, ralentit à l'intérieur de tes cuisses, maintenant tendues par l'attente, le désir, le plaisir promis... Elle descend descends vers le creux de tes reins... Ton sexe est là, tout prés, je peux en sentir la chaleur qui m'irradie de bonheur, ton corps tout entier est un appel timide et impudique à la fois. Je ne peux pas résister plus longtemps, je glisse ma main sur ton sexe, léger effleurement, le prend tout entier dans ma paume, caresse le tissu en imaginant le grain de ta peau, sentant ta chaleur... Mon baiser en cet instant te dit la tendresse profonde que j'ai pour toi Marie qui t'offre ainsi...
Je ne relis pas... S.


....me voilà dans une position complètement indécente. Un appel au Sexe. A l'état brut. Et pourtant on continue avec toute cette tendresse qui déborde. Nos baisers n'en finissent pas. Ta main parcourt ma peu au travers des tissus. La mienne fait pareil. Mes doigts caressent ton torse au travers de la chemise. Glissent sur ta nuque. A cet instant précis, nous nous donnons l'un à l'autre, qu'il est doux de te sentir crever de désir pour moi.

Ta main sur mon intimité me rend encore plus humide de désir. Ta main me rend folle ! Je me sens un peu honteuse de penser que tu l'auras peut-être remarqué. Je bascule mon bassin vers toi. Embrasse moi, embrasse moi encore.... Mes bras t'enlacent. Ma bouche se veut plus fougueuse. Une main te lâche. Descend le long ta poitrine. Caresse ton ventre pour venir frôler ton érection. Qu'il est flatteur de constater que tu exploses pour moi... Que tu me veux autant que je puisse avoir envie de toi. Tu te mets à respirer plus fort à chaque pression de mes doigts sur ta verge. Mon pouce se fait appuyant,  je te caresse fermement au travers du pantalon. Ta main est toujours posée sur ma culotte. Oseras tu faire légèrement glisser le tissu ?.... Nos baisers reprennent. Plus fougueux. Nos respirations sont haletantes. Nous sommes en feu ! Nous sommes submergés par un torrent d'envies ! Mon bouton se gonfle déjà alors que tu n'y touches pas. 

Serre moi contre toi.... Je me consume pour toi.... Nous sommes tous les deux à vouloir exploser de plaisirs ! A vouloir nous faire l'amour avec tendresse... et avec force.... 



 Je te désire, tout simplement...
... T'imaginer offerte dans cette position complètement indécente affole mes sens, je dois lutter pour ne pas aller trop vite. Tes cuisses grand écartées, ton intimité offerte sans pudeur, sans retenue maintenant, ton désir montré ainsi à son paroxisme est le cadeau dont je rêvais, mille merci se bousculent dans mon coeur, et je dois être à la hauteur de ce don, mon excitation est à son comble, trop peut-être pour mon penis qui doit te prouver son désir d'amour.... Ta main sur mon pantalon, je la sens, je désire tant, puisse mon sexe te satisfaire, puisse son érection être à la hauteur de ton désir, de mon désir...
Oui j'ai remarqué la chaude moiteur de ta culotte, et l'idée que tu en ai un peu honte m'excite... Te voir oser au delà des convenances m'excite... Si tu savais comme cette humidité m'excite, comme je rêve en ce moment de glisser un doigt entre tes lèvres intimes pour en apprécier toute l'importance de ton désir... Ma main est complètement sur ta culotte... Elle te caresse légèrement au travers du tissu fin... Dis toi alors que plus je suis léger avec toi et plus je me fait violence... Mes doigts sentent tes lèvres tendres et humides, elles les survolent lentement, comme j'aimerais les écarter déjà... Elles devinent ton bouton, l'effleurent... Je me retiens et laisse filtrer un soupir de désir... Et de plaisir à sentir ta main sur mon sexe, à t'embrasser d'une tendresse fièvreuse... Sens comme mes lèvres désirent tes lèvres... C'est trop... Un doigt cherche et trouve le pli de ta culotte..., par le côté, ce ecarte le tissu, découvrant ta vulve... Tu écartes encore les jambes, t'offre encore un peu plus... Tu veux ce doigt sur toi comme je veux aussi... Il avance lentement, rencontre le pli de ta lèvre et glisse tout du long... Et remonte... Sur le côté je sens ton bouton... Que c'est bon pour moi... Mon doigt redescend à nouveau, tout en bas... Il atteint l'entrée de ton vagin tout mouillé, se baigne doucement, t'effleurant la peau sensible avec la plus grande délicatesse... Remonte un peu puis s'enfonce doucement, écartant tes lèvres, sensibles aux moindres trésors de ta vallée d'amour... Mon doigt monte jusqu'à frôler ton bouton, s'arrête... Ton bassin cherche ma main, un petit gémissement me supplie, me fait craquer... Mon doigt monte un peu et appuie tendrement délicatement, tout doucement, sur le côte de ton clitoris gonflé, le fait rouler sous la caresse . D'un côté, puis de l'autre et encore. Peut-être gémis-tu de désir et du plaisir à venir... Moi je te dis viens, laisse toi aller, complètement.. Mes 4 autres petits membres rejoignent le premier chanceux, enveloppent ton sexe... Deux écartent tes lèvres tandis que le majeur entame à nouveau son mouvement au creux de ta vallée... Il s'arrête sur l'entrée de ton vagin, s'y baigne à nouveau, d'un mouvement circulaire et lent.... Ton souffle me brûle de ton désir d'encore, de plus... Mon esprit a chaviré depuis longtemps, à mes propres caresses de toi offerte, à tes caresses de moi offert, sexe glonflé implorant ta main, impudiques tous les deux désormais, cherchant l'un et l'autre son plaisir dans le plaisir de l'autre, s'exhibant plus qu'à nu déjà...
J'ai presque mal en écrivant ces mots que je vis avec en toi en pensées... Ma verge, humide également, est presque douloureuse à force de se tendre tel un stylo, qui cherche son encre au creux de ta vulve... Ces mots sont crus... Pourtant mon coeur est plus tendre que jamais...



N'ayons pas peur des mots.... Il faut bien appeler les choses par leur nom....
Je te lis et je me dis "oh la vache ! Wouahou !".... Oui, tes doigts sur mon intimité me rendent dingue. Tu dis te baigner à l'entrée de mon vagin... Fais attention, tu pourrais t'y noyer si tu parviens à faire déferler une vague de plaisir.... Mes baisers sont moins concentrés, ta bouche reste délicieuse, mais ma respiration s'accélère, ma langue joue sur la tienne au rythme de tes doigts sur mon bouton. Je gémis et mon ventre se tort, mon bassin ondule sous la promesse d'un orgasme foudroyant. Une main tenant toujours ton Sexe au travers de ton pantalon. Mon autre main pendue à ta nuque. J'aime sentir que tu m'appartiens et que je suis totalement livrée à toi moi aussi. Tu deviens ma drogue. Tu es désormais mon "illégal". La douce brise de deux doigts qui s'effleuraient à peine s'est gonflée en une tempête qui nous ravage tous les sens.
Ma deuxième main vient rejoindre celle qui tient ton pantalon. A deux, elles parviennent à faire sauter les boutons. Non, je n'y arrive pas. On rit doucement de ma maladresse à dégager ce sexe qui fini par se présenter gonflé par la fierté ! Il est trempé. Je le caresse doucement à deux mains.... Le dessine délicatement du bout des doigts. En parcourent les ligne... Il est tendu. Je sens qu'il me peut pas se tendre davantage. Tes doigts sont toujours au chaud sur ma chatte. Je te chuchote que je meurs d'envie de te goûter. Réaction immédiate: tu frissonnes et tes doigts se font plus impétueux et restent délicats. Je me bascule en arrière. Je n'y tiens plus. Tu me susurres de me laisser aller. Une avalanche d'ondes électriques descendent de mon ventre vers tes doigts. Je vibre intensément, mes gémissements non retenus se libèrent au fur et à mesure de cet orgasme qui déferle.... Ta main me caresse la joue. Ma bouche accueille tes doigts encore humides. Je suis suffoquante, je tente de me calmer et de reprendre mon souffle. Ta verge, toujours dans ma main, subit toujours mes caresses. Tu m'attires vers toi et m'embrasse avec tendresse. Mon calme est revenu. Je n'y tiens plus.... Je descend d'un cran et me mets à genoux à tes pieds. La promesse de ce qui t'attend fait ton sexe se gonfler d'impatience.... Ma bouche va se faire gourmande. Je ne m'en lasse pas. C'est un vrai péché mignon dont tu ne te passeras plus.... Mes lèvres et ma langue vont danser dans un ballet langoureux. Sur des rythmes plus ou moins lents.... Sur des rythmes plus ou moins appuyés. Viens au fond de ma gorge. Je tente de te mener au bord du supplice et prenant garde de ne pas te laisser y succomber trop rapidement... Je veux maîtriser la montée de ton plaisir.... Mes mains caressent aussi et toujours. Ma bouche continue sa valse joyeuse.... Tu me préviens que tu n'y tiens plus.... Le bas de ton dos se cabre, ton plaisir se relâche dans un râle où j'entends mon prénom.... ma langue continue son tango avec ta verge....



.... J'ai du mal à décrire le plaisir à te lire et relire ton texte qui me transporte toujours plus loin dans la félicité avec toi, vers toi... Je te trouvais déjà d'une sensualité exquise, rare, là je ne trouve plus les mots justes pour décrire à quel point tu m'enflammes continuellement, me consumes, me fait ressentir mille sentiments de désir et de plaisir. En fait je vibre littéralement, me tend, oh mon dieu... Tu es une maîtresse de la sensualité... Je suis ravi, enchanté de nous retrouver sur la même longueur d'onde, celle du plaisir par et pour l'autre... J'ai une chance inouïe que tes mots soient pour moi...
.... Ta jouissance me transporte intérieurement. Tes gémissements, tes cris m'emportent vers les sommets de l'émotion. Mes doigts sur ton vagin innondé jouissent en même temps que toi et qu'une onde de chaleur me remplit l'âme. Mélange de satisfaction de soi et de gratitude pour ton offrande, pour toi... Mes baisers te le montrent mais tu ne peux pas le percevoir alors, étourdie par l'orgasme... Rien que te sentir vibrer, onduler sous mes doigts, que t'embrasser, rien qu'entendre ton chant de plaisir, rien que de te voir chavirer des yeux me font craquer de désir...
Alors ta main sur ma nuque, tes caresses, ta bouche sur mon gland me perdent littéralement.. Je t'ai voulue offerte, je t'ai eue dans dans un abandon total, maintenant tu me veux, je le sens tellement que tout mon être est concentré dans mon sexe et je m'abandonne à toi.. Tes caresses, tes lèvres me font gémir de ce plaisir toujours plus grand que tu donnes, je te présente ma verge et impudique, te l'offre en supplique, te l'offre, je suis ton esclave... 
...tu me fais exploser., me tordre de plaisir, vibrer.. Te rejoindre....
J'halète, âme chavirée, reconnaissante..je reprends un peu mes esprit.. Te ramène à moi, t'enlace, ton sexe chaud et humide contre ma cuisse, ma verge contre ta peau, et je t'embrasse... En cet instant, mes baisers sont Tendresse...
Un moment passe, de repos, de prise en conscience de ma chance, un moment de douceur de Vivre...
A mon tour de jouir de te goûter... Mes mains te caressent à nouveau tendrement, lentement, je suis à l'écoute de tes réactions.. Trop vite, trop lent, trop tôt, je me coule à ton rythme pour souffler sur ta braise intérieure.. Mes baisers rebrûlent de désir, mes mains t'explorent à nouveau... Ma bouche descend sur ton cou... Je libère un sein, suce doucement son téton tandis qu'une main avide descend sur ta cuisse, l' écarte à nouveau... Tu t'offres à nouveau... Te crispant agréablement à imaginer la suite...
Je nous veux nus, peau contre peau. Je te déshabille lentement, tu m'aides sans doute dans ma maladresse, je me déshabille... Nous sommes nus, livrés au regard de l'autre, nos craintes se réveillent, vite dissipées dans les yeux de l'autre... Un baiser d'infinie tendresse nous soudent à nouveau... Enfin te sentir toute nue sous mes doigts, enfin caresser tes seins, sentir durcir tes tétons... Tu passes une jambe, autour de ma taille ecartant naturellement tes cuisses offrant ta chatte à mes caresses... Ma bouche suce à nouveau un teton pendant que mes doigts se perdent dans les replis de ta chattes, tu ondules un peu sous mes doigts, la chaleur remonte... Je craque... Je descend sur toi lentement, t'embrassant le ventre ... Ma bouche atteint ton sexe... Mes mains t'écartent encore, je me recule pour jouir du spectacle de ton intimité, de celui de ton visage tendu, bouche tantôt crispée tantôt entrouverte, de ta respiration qui fait monter et descendre tes seins, je jouis de ton offrande, je jouis de te voir si impudique pour moi, je devine ta gêne légère, de ton excitation... Je vois tout, tes lèvres encore humides, la renflement de ton clitoris gonflé, de ton vagin trempé... Un peu de ton miel coule jusqu'à l'anus... Je grogne de plaisir à cette vision et n'en peut plus de te faire attendre, de me faire attendre... Je relève un peu tes jambes, exposant encore plus ton sexe... Ma bouche se pose doucement, embrasse tes lèvres intimes du bout de mes lèvres... Ma langue veut te gouter, elle s'immisce entre tes lèvres et je te lèche avec un plaisir extrême... Ton bouton sucé entre mes lèvres... Ma langue qui l'enroule encore et encore, en alternance avec la caresse de ma bouche... Ma langue qui glisse doucement le long de ta fente et remonte pour venir titiller ton bouton, puis redescendre... Je sens ton odeur de sexe offert à l'amour... Ma langue descend jusqu'à ton vagin et se noie de bonheur dans ton miel... Un doigt vient se poser sur ton anus... J'ai envie de te pénétrer... De ma langue je force doucement l'entrée de ton vagin... Je relâche la pression, et me délecte encore de ta mouille... Ma langue se fait plus pointue, plus ferme et cette fois ne recule plus... Elle te pénètre un peu, juste à l'entree... Ma verge est dure, jalouse de ma langue... Chacun son tour.. Maintenant c'est ma langue qui fouille en toi telle un petit penis, en un doux va et viens......


Et cette caresse de ta langue ne va pas tarder à me faire crier de plaisir une nouvelle fois. Non moins intense que la première, mais différente.... Tu remontes sur moi, mes mains se font caressantes. Mes doigts glissent sur ta peau, ton dos. Je n'ai pas encore repris mon souffle, ta bouche revient sur la mienne. Mes doigts s'enfoncent dans tes cheveux. Je te serre contre moi. J'aime ces moments de grande douceur. J'aime ces moments où la tendresse remplace tous les mots, tous les mercis. Ta bouche est dans mon cou, descend langoureusement sur mes seins. Tu t'y attardes pour notre plaisir à tous les deux. Tetons sensibles, peut-être un peu trop sensibles. Et la moindre poussée de ta langue est un réel plaisir, tes dents les mordillant est un divin supplice. Tes mains me caressent les cuisses. Tu m'attrapes les hanches et ton sexe cherche alors à se frayer un chemin entre mes cuisses. "Oui mon coeur, viens !" L'entrée est étroite. Mais tu t'y glisses avec une certaine force. Tu m'arraches un cri: douleur divine. Mes bras t'enlacent. Tu commences par de doux va et viens. Qui se font plus agressifs au fur et à mesure de mes gémissements. Je bascule mon bassin t'invitant à y mettre plus de force. Je ferme les yeux et savoure ce moment où on ne fait plus qu'un. Une belle harmonie des corps. Tu te relèves et m'invite à 
me mettre à genoux. Oh que j'aime cette position là ! Je veux que tu me penetres avec fougue.. Tes mains tiennent fermement mes fesses. Tu oses ton pouce sur mon anus. Je gémis de plaisir te faisant comprendre que j'aime toutes les caresses, absolument toutes. Tu grognes de satisfaction !........

Ta sirène, Marie



Oh que j'aime te voir à genoux, offerte de façon encore plus impudique et sans retenue. Là tu ne maitrise plus rien... Mes te tiennes fermement les fesses, je vois tout, rz chatte trempée, ton vagin qui se contracte de désir, ton anus... Que tu es belle ainsi offerte, et je te le dis... Que j'aime te voir animale... Mon sexe est dur, dur.. Je te caresse la vulve avec mon gland, sexe contre sexe, désir de contact frissonnant, désir de pénétration, de ne faire qu'un avec toi... J'ai mouillé mon pouce... Je te masse l'entrée, appuie un peu, force ton anus... Je m'arrête là pour l'instant... Mon gland gonflé vient tout trouver l'entrée de ton vagin... Il va le forcer a nouveau, doucement, juste un peu, tester là à se délecter de la caresse de ta chatte, le voir mangé un peu, ressortir et revenir te forcer doucement... Cambre toi, montre moi tout ton sexe, sois louve comme je suis devenu loup pour toi... Je te pénétrer un peu plus loin maintenant, j'ai tellement envie de toi, de tes gémissements qui m'affolent, de tes cris qui m'amènent a la la limite de craquer... Je jouis de ton état de complet abandon a l'impudeur, au désir, au plaisir, je tiens fermement tes hanches et me concentre en mon sexe, je te pénètre en va et viens lents, pour tout sentir de toi.. Je te dis des mots doux, c'est plus que mou.. Je t'aime en cet instant, je t'aime...Ils s'accélèrent, je ne peux plus jouer, c'est trop bon, je veux te donner du plaisir encore et encore, faire ce plaisir mais aussi te faire crier, te faire craquer comme tu es en train de me faire craquer...

Ton marin, ton loup....ton S.



Hummmm oui mon loup.... Tes vas et viens sont doux, même en levrette, tu es capable de tendresse. Te sentir doucement est très agréable. Je fonds de sentir tes mains qui me tiennent avec fermeté. Ton pouce sur mon anus me rend folle. Tes penetrations sont sûres, et me font couler. Je suis gênée à me déverser un peu sur toi. Tu me rassures en ne t'arrêtant pas et tu accélères tes mouvements en moi. C'est chaud.... C'est beau.... C'est délicieux.... Je crie à chaque coup de rein s'enfonçant plus profondément. Tu râles toi aussi. J'aime quand tu t'exprimes comme ça, sans retenue, sans timidité. Aime-moi mon coeur ! Mon vagin se contracte de plaisir. Ma chatte t'emprisonne et je te sens complètement glisser. Et je me contracte encore plus.... Mes doigts vont venir caresser un peu mon bouton pendant tes penetrations. Tu le remarques et m'encourage. Je suis sans pudeur, sans timidité. Je cambre mes fesses vers toi. Et je vais vite crier ma joie. Mon ventre se tort, mon vagin ondule... Oui viens ! Allons tous les deux !...... 
Je veux qu'on jouisse ensemble, parce que c'est magique !

Marie



Mmmmmmmmmm je te lis et je me retiens de gémir tant le plaisir est bon..... Je ne peux te repondre maintenant mais tenais a te dire a quel point tu rends dingue a quel j'ai envie de toi. Je n'ai pas mots... Juste le sentiment d'un puissant elan vers toi pour ye couvrir de baisers, te faire l'amour comme un fou, un fou de toi
Je t'embrasse fort, fort...

Oh Marie, une fois de plus je vois, je vis tes mots, et ça me transporte vers toi avec un plaisir total. Dans tes mots, ton fantasme tu t'offres complètement, corps et âme, dans ce qui te fait jouir et dans ce que tu crains un peu peut-être de mes réactions. Ton "cul d'enfer" m'excite comme un fou car tu me le présente ici sans retenue, en prenant tous les risques, en toute confiance, animale et fragile en même temps, excitée dans limite, tu me montres ton corps, tu me montres ton intimité profonde... Je ne sais comment te dire à quel point je me sens chanceux avec toi, à quel point tu me fais jouir en pensées, à quel point je me sens honoré de ta confiance, à quel point je te remercie du fond de mon coeur pour ce cadeau divin, à quel point je brûle de désir de t'apporter du plaisir à toi aussi... Je sais que quoi qu'il arrive, je me souviendrai toujours, avec émotion de toi, et de ce partage lumineux entre nous, fait de tendresse, de ta sensualité si raffinée et si brûlante... Merci Marie... Sens-tu comme mon coeur se gonfle de tendresse en écrivant ces lignes ?
Tu sembles craindre un peu ma réaction face à tes humeurs abondantes ? Serais-tu une femme fontaine ? Fontaine ou non, rassures toi... et coule, coule, coule ma chérie.... Cela sera pour moi un cadeau... Signe de ton désir pour moi, de ton plaisir par moi... Coule tu me rendras heureux, coule encore et encore... Noie mon doigt, trempe ma main, abreuve mes lèvres, baigne ma queue, innonde mon pubis de ton coulée de plaisir... Sens-tu comme ma verge de gonfle de désir pour toi en écrivant ces lignes ?
Mon aussi je coule sous le désir tu sais... Cela me rend un peu honteux d'habitude... Tu as su me rassurer dans message précédent, quand tu prends a pleine main ma verge trempée... Merci ma chérie...
Merci de cette libération mutuelle où on peut s'offrir sans fard a l'autre, et sans gêne, où le sourire de l'autre rend le plaisir complet...
Je t'imagine sans mal en levrette, cuisse écartée, intimité offerte a ma vue a mes mains a mon sexe, j'imagine ton corps tendu, ton visage dont l'expression m'entraîne vers cette douce folie des sens... Je vais en toi doucement, chaleur d'une douceur inouïe, tes gémissements, tes cris m'excite comme une bête, je te sens couler sur mes couilles, mouille mou encore, laisse moi voir ton sexe trempée, oh que c'est bon, je te regarde, ne perd pas une miette de toi, et je sens sous mes mains qui retiennent tes fesses contre moi, je sens mon gland prêt a exploser en toi... Je ressors mon sexe de toi pour encore te voir offerte, je ne m'en lasse pas, je pose mon sexe sur ta chatte et la caresse tout du long, je sens tes doigts sur ton clito que j'aime te voir ainsi sans retenue, que j'aime me lâcher moi aussi pour toi, je grogne et gémis de plaisir retenu, mon sexe vient a nouveau s'abreuver a ton vagin, le force a nouveau, je pousse un soupir de plaisir qui fait écho au tien, mon pouce force ton anus, tu pousses un petit cri qui m'excite, de donner du plaisir m'excite tellement.. Mon pénis gonflé a bloc va de plus en plus profond en toi, toujours avec douceur, je veux te sentir tout du long, je veux que tu sentes te pénétrer, tes gémissements m'affolent, j'accélère... viens ma chérie, offre moi ton cri de plaisir, serre ma verge de ton vagin, viens, oh viens, je te tiens fort, viens ma chérie... dans un ultime effort héroïque pour me retenir, je parviens a te demander entre deux grognements si tu veux que je vienne toi ou non... En cet instant je suis ton esclave autant que tu l'es pour moi, l'offrande de l'un à l'autre va être total, nous allons fusionner dans le plaisir, le feu d'artifice...
Que j'ai envie de toi, Marie.... Ma verge est dure et trempée à te lire et t'écrire, à penser a toi simplement. Tu t'imagines pas...