Alexis....

 

On est samedi, il est 8h15, je viens de déposer Antoine au lycée. Je file réserver la chambre d'hôtel pour cet après-midi. Pas question de passer une CB au guichet automatique, ni la sienne, ni la mienne. On ne se rejoindra qu'aux heures où la réception est fermée, alors je m'en occupe....

La chambre est déjà libre, j'en profite pour y monter mes affaires. Je reste un peu... je pense à plus tard.... quelques heures encore et je serai à nouveau avec ce géant qui me plait tant !

Un texto dans la matinée me dit que seulement 3 minuscules heures nous séparent.

Il est 12h15. Je suis de nouveau à l'hôtel. Je me sens nerveuse. Je vais prendre une douche, ça me fera du bien. Il me faudrait presque une douche froide pour calmer le feu que j'ai entre les jambes !

Je sors de la salle de bain. Le bruit de l'autoroute toute proche me tient compagnie.
Mon tel sonne. Un sms... Il me dit qu'il est en route, mais qu'il est mort de trouille.. Et me demande si j'ai pris le temps de manger à midi. Pourvu qu'il ne fasse pas demi-tour. Je lui répond que non, rien avalé depuis la veille. Et je lui envoie le numéro de la chambre, le code pour en ouvrir la porte. J'ai une petite demie-heure pour me sécher.

Un peu d'huile sèche sur la peau encore humide. Le parfum est léger, je préfère ça à un parfum, j'aime beaucoup. J'enfile mes bas noirs.

Je fini de m'habiller. Je me rends compte que je ne peux finalement pas porter mes talons, je les ai emportés, mais je ne tiens pas avec. Je me suis foulée un orteil contre un satané caddie en faisant mes courses la veille. Et c'est encore douloureux. Je ne tiens pas debout, appuyée sur cet orteil de malheur. 

Je reste pieds nus et je m'allonge sur le lit. J'ai mal au ventre. Vraiment, pourvu que la culpabilité ne lui fasse pas faire demi-tour...

Mon estomac se broie à chaque claquement de portière. Qu'est-ce qu'il y a comme bagnoles sur ce parking !
 
Je suis allongée, je suis perdue à rêver et j'entends le bruit sourd du code de la porte. Il est là ! Enfin !! Il entre. Me dit bonjour. Il est complètement stressé ! Les traits de son visage ne cachent rien de l'angoisse qui l'assaille. Je l'accueille en lui criant presque de venir m'embrasser et j'ouvre les bras pour l'accueillir, mes mains lui font signe de se dépêcher. Il laisse tomber ses affaires sur le sol et se jette sur moi pour m'embrasser avec fougue ! Il tremble terriblement. Mon géant n'en mène pas large. Le pauvre, mais ça le rend encore plus attachant. 
 
Il est allongé sur moi, il me retire immédiatement ma tunique noire. Mes  seins, ce sont mes seins qu'il veut ! Il me chuchote qu'il n'en peut plus depuis mercredi, qu'il les veut et maintenant ! Il glisse ses mains dans mon dos, le soutien-gorge saute. Et il s'en empare avec sa bouche. Sa langue joue,  il pince les tétons qui s'étirent énormément quand il les aspire entre ses lèvres. Je les ai rarement vus s'allonger comme ça ! Et il passe de l'un à l'autre, alterne avec ma bouche.
Il prend ma jupe, me la remonte à la taille,  me retire mon string avec peu de délicatesse. Il est à genoux entre mes jambes,  en retirant le string trop rapidement,  il a fait tomber les bas. En moins de deux minutes voilà que je ne ressemble plus à grand chose !
 
Mais ce n'est pas grave ! Il est immédiatement pardonné quand sa bouche vient s'abattre sur ma chatte. Sa caresse est peu précise, je lui tiens les mains qui tremblent encore, mais ses coups de langue qui jouent partout me font crier très très vite ! Il ne s'arrêtera pas... Et en quelques instants me voilà qui crie à nouveau ! 
 
Il est là depuis a peine plus de cinq minutes, et j'ai déjà jouis deux fois !
 

Il revient vers moi et reprend ses baisers. La bouche, le cou,  les seins. J'ai les seins gonflés de plaisir. Je vais lui retirer son t-shirt. Lui ouvrir son jean's. Il se lève et termine de se déshabiller. Je le taquine en lui disant que j'ai quand même rarement fait autant peur à un homme. Il tremble moins,  mais il n'est pas encore tout à fait serein. Et il me répond: qu'est ce que c'est bon d'avoir honte !

Et le revoilà dans mes bras... on s'embrasse longuement. Sa bouche se promène dans mon cou, derrière l'oreille, il me grignote le lobe de l’oreille, et un frisson me parcoure. Ma poitrine, les épaules, tout le haut du corps y passe. Il a ses bras dans mon dos, ses mains me maintiennent la nuque. J'aime le contact de ses mains dans mon cou. J'aime sa bouche. Je ne me lasse pas de l'embrasser. Je m'abandonne totalement...

Je lui fais comprendre qu'il doit basculer et se mettre à son tour sur le dos. Ma bouche et mes mains courent sur son torse, et je vois qu'il tremble encore un peu. D'ailleurs sa virilité a du mal à me montrer qu'il est excité ! Il s'excuse et me dit qu'il stresse trop, mais que pourtant il est très motivé !... Je ris et lui réponds de ne pas s'inquiéter, je suis capable de réveiller les morts !

Et je commence mes douces caresses, ma langue court tout du long... mes doigts caressent, se font parfois plus impétueux... Et monsieur se réveille... Une belle verge se dresse devant moi. Il se détend enfin... Je le sens moins stressé. Il me caresse la peau en même temps. Ses coups de reins l'enfonce loin dans ma gorge. J'arrive à freiner son élan avec ma langue, mais ça n'est pas toujours facile... Il me dit que je suis une reine. Sa reine. Et au passage, la déesse de la fellation ! ... Je souris... Et continue à me régaler. Il va me caresser les fesses, et un doigt va s'insérer dans mon anus, il me tire un petit cri, car il y est sans avoir pris un peu de patience ou de tendresse.

Il se redresse, me caresse le visage, les épaules... me dit "viens... " dans un chuchotement à peine audible. Je remonte vers lui, lui tend ma bouche. Il m'attrape le visage, tout en m'embrassant, il se recouche sur le dos, m'obligeant à le suivre. Me voilà allongée sur lui, je vais remonter mes genoux et me mettre à califourchon sur lui. Sa queue cherche à se frayer un passage entre mes cuisses. 

Mes mains sur ses épaules, les va et vient sont plutôt puissants. Je me redresse, il me tient par les mains et me voilà empalée sur lui, lui profondément en moi. Ah non, il s'enfonce trop loin, il me fait mal, je me rebascule en avant ce qui permet de ne pas de buter au fond de mon vagin et de ne pas transformer ce moment délicieux en douleurs...
On va rester dans cette position-là un moment. Les yeux dans les yeux, ses mains sur mes seins, sa bouche tirant aussi sur les tétons gonflés.

Non... je me sens littéralement trempée, je sens un liquide couler le long de mes cuisses, la chatte déborde ! Je lui fais la réfléxion qu'il n'est pas possible que je coule comme ça... Et il me répond "non, ça doit etre moi, tu m'as déjà fait jouir 2 fois... "

On s'enlace encore un peu et je vais aller rincer tout ça à la salle de bain... Il me suit, et fait pareil.

On se retrouve, et c'est quasiment immédiatement que les câlins reprennent ... on va calmer le rythme en papotant un peu... mais nos mains ne s'arrêtent pas une minute, et nos bouches se retrouvent à la fin de chaque phrase... Ses longs bras m'entourent, il est caressant, il est doux... Je pense qu'on est resté un long moment comme ça...
Il va se relever, s'excuser ... il ne veut pas faire "ça", mais il le faut bien, on n'a pas le choix. Je le vois donc prendre sa montre sur la table, il me rejoint sans avoir regardé l'heure. Il n'en a pas envie, il traine à regarder. Je lui demande donc quelle heure est-il ??... Et je vois son regard s'allumer, il se met littéralement à briller ! Son sourire est éclatant !... Et me répond qu'il n'est QUE 14h37 ! Nous n'avons même pas consommé la moitié du temps que nous avons à passer ensembles. Il pensait qu'il était sûrement déjà presque l'heure de se séparer...

J'ai une boule au ventre, face à sa réaction, je me sens fondre...

Il me saute dessus !
-Viens là, que j'en profite encore plus de 2 heures !!!!!

Je lui fais remarquer que tout son stress a fini par passer... Il me dit "merci" de lui faire autant de bien, que s'il avait su, il se serait arrangé pour qu'on se rencontre bien avant ... Oui, il me l'a déjà dit , il se sent revivre. Que la honte a été présente un moment, mais que le bien être qui le traverse est bien plus important. Je lui demande de ne pas culpabiliser, quand il sera rentré..... Ses yeux se font tendres, il me serre contre lui et me dit qu'il ne se voit pas rentrer et m'envoyer un texto qui dirait que tout est fini. Il ne se voit pas du tout faire ça. Je suis là, il en est très heureux, et il veut que je reste !

Et la seconde d'après, une guillotine tombe, me frôle la nuque, je suis à deux doigts de voir ma tête rouler par-terre !

"Marie, tu es pas amoureuse".

Je suis incapable de dire si la ponctuation de fin a l'intonation d'une question ou d'un reproche. Je lui réponds que non, mais que je me sens moi aussi comme une ado de 15 ans, que je dois bien admettre que notre rencontre me fait du bien, mais qu'il est trop tôt pour me sentir amoureuse. Ensuite... je dois bien lui avouer aussi que le comportement qu'on a tous les deux peut difficilement faire croire le contraire !". Il me sourit et me dit "tout pareil"...
Ouf, je m'en sors pas trop mal sur ce coup-là...

Il est allongé sur le ventre, je suis calée contre lui, mes mains parcourent son dos. Je me redresse, lui dit de ne pas bouger.
Mes mains caressent, le dos, les épaules, les bras, les fesses.... Je me relève au-dessus de lui, et ma bouche va accompagner mes mains. Ma langue court sur toute sa peau... Il frémit lorsqu'elle s'approche du creux de ses reins... Il a la chair de poule sur les bras, je l'embrasse et le caresse doucement. Il me dit que mes mains sont d'une extrême douceur. Je prends le temps de passer sur tout les centimètres du haut de son corps... Je le couvre de tendresse, il s'apaise encore plus et savoure les caresses que je suis en train de lui offrir... Je lui demande de se retourner. Je n'aurai pas besoin de le demander deux fois, vu la vitesse à laquelle il a répondu à ma petite requête. Et ma bouche et mes mains vont recommencer leur ascension, coté pile... Je lui mordille les tétons, il ronronne de plaisir. Son sexe se dresse. Alors je vais me mettre à genoux entre ses jambes. Ma langue va continuer à se faire curieuse, délicate et vicieuse. Je vais lui couvrir les testicules de baisers, ma langue va glisser, sur, dessus, dessous... lorsque je m'attarde sur la naissance de ses cuisses, je sens qu'il devient fou. Je prends ensuite à nouveau ses bourses, dans ma bouche, son bassin se soulève. Ma langue va descendre, lui offrir des frissons juste à un endroit précis, entre elles et l'anus... Et ma langue va descendre encore... Je vais remonter sur lui. Remonter complètement. Et dans un baiser, lui demander de se masturber. Je vais alors redescendre. Il va s'emparer de son sexe dans sa main et ma bouche et mes mains vont reprendre les caresses précédentes. Sa main fait des lents va-et-vient, Je prends ses testicules en bouche, je les aspire. Mes mains sont sous fesses et caressent. Ma langue se fait surprenante quand je commence à lui lécher l'anus. Je sens qu'il accélère les mouvements de sa main. Je l'entends me dire "ouiiii"... Ma langue va forcer son petit trou. Je vais m'y attarder avec délice. Je le lèche longtemps, faisant courir  ma langue partout ! Prenant en bouche tout ce que je peux y prendre.. Lécher à nouveau. Poser un doigt sur l'entrée de son cul, pendant que je l'embrasse partout... Il grogne. Sa main s'accélère. Je ronronne moi aussi. J'aime le posséder comme ça. Et il va gémir... longuement. Et je vais assister à une éjaculation puissante, longue, interminable. Il a du sperme partout, jusque sur son épaule... Il va lâcher son sexe et je vais y passer ma langue. Je souris, il est inondé de sperme.

Je le félicite ! J'ai adoré !! ... Il ne me dit rien. Il m'attire vers lui. Me prend dans ses bras. Je l'entends me dire merci. Qu'un "truc pareil" ne lui était jamais arrivé. Je dois bien avouer que moi non plus, je n'avais pas encore joué comme ça. Il y a un début à tout, visiblement. 

Et les baisers reprennent... les caresses et les câlins aussi. Il me dit que c'est à mon tour de me faire dorlotter. Et me demande de m'allonger à coté de lui. Je suis sur le dos, il va m'inviter à me retourner. En riant il va me dire que ma peau non plus ne sera pas épargnée. Et il va m'embrasser tout le dos, ses mains vont glisser tout du long, tout du large... Je me laisse enivrer, j'aime la douceur de ses gestes. Ses lèvres et ses mains vont s'attarder sur mes fesses. Ses mains vont se glisser sous mon bassin et il va me soulever. Je suis son mouvement, je suis désormais à quatre pattes. J'ai la tête posée sur l'oreiller. Il a mon fessier indécent sous le nez. Sa langue va aller sur les fesses, se glisser entre. Il va glisser un doigt et me masturber l'anus. Sa langue va à son tour forcer, essaie d'entrer dans ce petit trou que je lui tends indécemment. Et avec une main, il va insérer un doigt dans mon vagin. et de l'autre, le pouce va jouer avec mon clito. Sa langue est toujours à jouer sur mon anus. Je vibre, c'est magique et délicieux ! Cette caresse en trio me fait hurler dans l'oreiller. Je suis haletante. Il rit et me dit que c'est pas fini ! Il me prend contre lui, et m'allonge sur le dos en m'embrassant. Et le voilà à nouveau entre mes jambes. Ses doigts repartent à l'assaut de mon cul pendant qu'il lèche sans ménagement ma chatte, que sa langue se faufile à l'entrée de mon vagin. Et son doigt continue à me pénétrer, il va s'arrêter, et je vais le sentir caresser, à l'intérieur.... Et sa langue va continuer à me stimuler, à l'aide de ses lèvres, il va s'amuser à m'aspirer le petit bouton. Il va l'aspirer sans s'arrêter, le pince presque entre les dents. Il s'amuse à me mordre les lèvres. Je me trémousse de plaisir ! Son doigt continue, il n'est pas en mouvement de va-et-vient, mais me caresse les parois, la zone est apparement plutôt érogène, sa langue aussi continue à être caressante. J'entends qu'on discute sur le parking sans vraiment y prêter attention. Et mon bassin va se bloquer, mon ventre va se crisper, mon périnée va se mettre à trembler et ma jouissance va littéralement exploser. Mon bassin ondule, j'ai des spasmes jusque dans le ventre. Je crie, je me mets à pleurer... Je ne contrôle pas cette vague qui me traverse...

Le silence règne sur le parking... des oreilles ont l'air d'être à l'affut ... et surement que des yeux cherchent à savoir par quelle fenêtre les cris de jouissance se sont fait entendre !

Il remonte à ma hauteur, essuie mes larmes avec des baisers. ... Je suis montée très haut !... Et je lui dis doucement qu'on est en train de prendre un sacré élan, à tous points de vue. Et que plus d'élan on va prendre, plus violente sera la chute.

Il me répond que même si on s'écrase dans un grand "SPLASH"... en attendant, c'est que du bonheur.

Il me regarde, j'aime quand il plonge ses yeux dans les miens. Il me dit que j'ai des yeux magnifiques, que mes seins, mon cul et mes jambes sont sublimes... Et qu'il y a une éternité que son coeur n'avait pas battu la chamade comme ça... L'étreinte est tendre, les bouches sont langoureuses, les mains se font douces... Et il va doucement me pénétrer, l'instant est lent, doux. Il continue, sur le même rythme... je colle mon bassin à lui. Mes jambes remontées sur ses fesses. Les muscles de mon vagin entourent sa verge, il continue ses mouvements.. lents... il prend le soin d'entrer le plus profondément possible, c'est pas toujours super agréable, mais pas grave... Et il prend aussi soin de ressortir le plus au bord possible... Et quelques coups de bassin  plus rudes, plus rapides, plus brutaux ... Il me prend la bouche avec fougue, ses mains m'attrapent les hanches et il est à jouir.


Il s'écarte un peu, on ne dit rien, on savoure l'instant. L'autoroute fait toujours autant de bruit. On va rester enlacés pendant un bon moment.

 Il se relève, me regarde avec un regard que je ne sais décrire sur le coup, et il me dit en riant : "baise moi !"
Ce qu'il entend par là, c'est qu'il a envie de se mettre sur le dos, et que ça moi qui gère notre plaisir ! Oui, si il le veut !.. Mais punaise, il est insatiable ! Je commence à être un peu ko... Mais je le suis dans son envie. Et me voilà sur lui, il me tire les seins à chaque fois que je m'éloigne de lui pour enfoncer la pénétation... J'adore ça! Et sa bouche gloutonne ne s'en lasse pas non plus... Je souris en me disant, que cette fois-ci risque de durer moment.... Et bien non, il me prend les hanches, et m'aide à accélérer les mouvements... Il va se relever, le voilà assis et moi toujours sur lui,. Je glisse mes jambes à côté de lui, je bascule en arrière. Me tiens sur mes bras. Il me tient la taille et m'aide à bouger sur lui. Lui aussi se soulève un peu à chaque pénétration... Une main vient caresser ma chatte en même temps... Je suis presque allongée sur le dos pour lui permettre de me caresser plus facilement... On va jouir tous les deux, quasiment en même temps. Les muscles de mon vagin qui jouis vont l'aider à prendre son pied, lui aussi...

Quelle après-midi... là on suppose qu'on doit être en retard sur le timing qu'on s'était imposé. Il est 17h15... et il me dit qu'il va falloir que je le jette dehors. Car de lui-même il ne partira pas. Je le taquine en lui disant que moi, j'ai tout mon temps, personne ne m'attend.
Je me lève faire un tour à la salle de bain. Je lui dit qu'il faut qu'il respecte ce qu'il raconte à sa femme. Car moins vite il se fera pincer et plus longtemps on pourra en profiter...

On remballe nos affaires. Il ya des fringues partout, quel bazar ! ... On rejoint nos voitures sur le parking. Il s'est garé à coté de la mienne. Un dernier baiser sur le parking. Il est appuyé sur sa voiture. Il ne veut pas s'en aller. Il me tient les mains et n'a pas l'intention de les lâcher. Il est décidément toujours aussi attachant....  Il faut que je m'en aille la première. Pas le choix. Je le quitte, monte dans ma voiture. J'ouvre ma vitre passager pour lui lancer un petit "bonne soirée"... Je démarre, à regrets. Je ressers mon frein à main, je remet le boitier au point mort. J'ouvre ma portière, je sors de ma voiture... J'en fais le tour en courant... Je l'embrasse au travers de la fenêtre. 


Je vais quand meme m'en aller et rouler tout doucement, mais il ne me rattrapera pas. Je rejoins l'autoroute, il n'est toujours pas dans mon rétroviseur. Je ne sais pas combien de temps il aura mit pour s'en aller.

Je verrai plus tard un petit mail.

Marie
cet après midi restera dans mon esprit a jamais!
j  adore faire l amour avec toi
je te l avais dit,doux,bon et chaud...
j ai a nouveau très très hâte de recommencer!
a bientôt ma chérie
je t embrasse tendrement