La cravache me manquait...


Je prends la route, je lui avais dit que j'arriverai à l'hotel à 15h. Je devais partir à 13h, deux heures de route. Je ne pars qu'à 13h15 !.... voire 13h20... Aïe, me voilà à la bourre. Je lui mets un sms pour le prévenir que je quitte la maison. Il me répond : « tu seras donc en retard, nous verrons ça tout à l'heure »

.... Oh non... 2ème sms qui me dit « Ne cumules pas ».

Heu... non non...

Je roule. J'ai la tête dans les nuages. Je passe Nancy. Il me demande si ça va. Je lui réponds que non. 

Epinal... Et là ! Stupéfaction ! Je me souviens que j'ai pris tout ce qu'il m'avait demandé d'avoir avec moi, sauf quelques pinces. Mon ventre se tord : ne cumules pas, qu'il disait.... Comme s'il l'avait senti, mon tel se met à sonner aussitôt. Je décroche, il veut me rassurer, me dire que tout va bien aller.... Ne veut pas que je termine dans le fossé parce que je stresse. Je vais lui annoncer, non sans mal, que je ne me souviens pas d'avoir mis les pinces dans mon sac et qu'il y a des chances pour que ma mémoire ne me fasse pas tant défaut que ça... et qu'elles n'y soient effectivement pas, dans mon sac.

A sa question, je lui réponds que non, je ne l'ai pas fait exprès. Je ne les ai pas oubliées par prétexte pour ne pas qu'il s'en serve.

Ouf, il a l'air tolérant sur ce coup-là.

Je n'arrive pas à récupérer mon retard, 3 ou 4 minutes à peine... et encore, je ne suis pas encore dans Luxeuil. J'y arrive. Mon GPS pas à jour me perd. Il tient à me faire prendre un sens interdit. Je tourne en rond. Le voilà qui me rappelle. Je lui dis que je suis perdue, que je ne parviens pas à trouver la rue. Je dois m'arrêter, chercher un plan sur mon portable et me débrouiller sans mon GPS. Je vais y arriver, je prends la chambre, je monte, il est 15h30 !

Une douche en vitesse, je m'habille. Il veut rencontrer sa pute. J'ai ordre d'enfiler une jupe, de la remonter le plus haut possible. Un haut très décolleté, des bas et porte-jarretelles, des talons, un rouge vif sur les lèvres, aucun sous-vêtement. Je me dépêche. Et dans la précipitation je fais un énorme trou dans un des bas. Je me décompose... Rien ne va.... C'est la catastrophe. Je sais qu'il est arrivé et me demande où j'en suis. Je lui donne le numéro de la chambre et lui annonce que je viens de massacrer l'un de mes bas. A lui de comprendre que je ne serai pas telle qu'il me voulait.... Comment rattraper la boulette, là en moins de 30 secondes ? Je décide de mettre mon collier autour du cou. Ca n'est pas encore le sien, il m'avait dit qu'il déciderait du moment où il choisira lui-même mon collier, mais il a la curiosité de me voir en porter un. J'y accroche la laisse. Je pense que ça pourrait détourner un peu son attention et atténuer un peu la colère pour mon "manque de tenue"...

Sms : entrouvre la porte, mets-toi en position, j'arrive.

Mon ventre se tord littéralement.

Je mets un foulard sur mes yeux, je me mets à quatre pattes, de façon à ce que mes fesses soient la première chose qu'il voit en entrant, je prends bien garde à relever ma jupe à la limite de mon cul, je pose la cravache sur mes reins. J'écarte jambes et bras ... Et j'attends. Des pas, dans le couloir. Mon Dieu, il commence à faire chaud. Il entre, me dit bonjour. Je lui réponds par la phrase coutumière « Bonjour Monsieur ». Il me demande si je vais bien, comment je me sens. Je lui réponds que ça ne va pas du tout, que je stresse au point où mon cœur vient de s'échapper et court sur le parquet.... Il rit.

Sa voix est légèrement différente de celle que j'étais habituée à entendre au téléphone. Il va s'approcher. Il tourne autour de moi, se plaint que la chambre est ridiculement petite. Il me dit que je devais avoir la jupe totalement relevée. Je ne l'avais pas compris comme ça, je m'excuse et la relève. Je fais attention à ne pas faire tomber la cravache. Il m'aide. Et me voilà, en plus, le cul complètement offert.

Il doit bien voir que je panique complètement. Sa voix se fait calme, il me dit qu'il est fier de voir sa chienne l'attendre dans cette position-là.

Il va prendre la cravache, mais tellement doucement que je ne m'en rends pas compte... Je vais manquer de m'évanouir quand il va la faire voler. Je l'entends qui fend l'air rapidement. Je sens l'air qu'elle déplace souffler sur mes fesses. Je retiens ma respiration, j'halète. Je soupire... Je stresse.

Il me redemande si ça va. Les mouvements de ma tête lui répondent que non. Me demande si je veux arrêter. Ma tête lui répond toujours non.

Je l'entends qui fouille sa veste. Et sa voix à nouveau va retentir. Il me dit que parce que j'ai une petite tête, j'ai obligé mon Maître à s'arrêter chercher des pinces lui-même. Je ne peux que m'excuser. Je stresse un cran plus haut. Je sens que je vais être punie pour ça aussi. Comme si je n'en avais pas assez cumulé en 10 jours.

Ma respiration ne se calme pas. Il empoigne la laisse, le collier. Il tire dessus, vers le haut. Je suis étranglée par le collier. Il me demande si je suis fière de me présenter à lui comme ça. « Oui Monsieur ». Il va relâcher la laisse et le collier, doucement. Il a l'air d'apprécier l'initiative. Il va s'amuser à accrocher la laisse au radiateur. Il remarque justement qu'il est brûlant et il va le baisser, me disant que je vais finir par m'évanouir si en plus il fait réellement très chaud. J'ai une petite fermeture éclair dans le dos, il va l'ouvrir et me caresser la nuque, les épaules. Il me tient fermement le cou en glissant ses doigts sous le collier. Une main ferme, qui tient ce qui lui appartient. C'est comme ça que je le ressens. Ma respiration va s'accélérer encore davantage. C'est une image qui me plait ! Il déballe les pinces. Et voilà qu'il en accroche une, deux , trois, quatre... sur les lèvres de ma chatte. Il râle, elles ne sont pas assez pinçantes à son goût. Et il en rajoute encore. Il m'annonce que comme il a été obligé de rattraper mes étourderies, pour ma peine, je les porterai toutes, et en même temps. Il me fait peur. Mais je tente de faire bonne figure. Il va me demander à combien il en est. Je n'en sais rien, je ne les ai pas comptées. « Tu as tord » me répond-il. Et il continue à me pincer la chatte, les cuisses. Je souris en lui disant que ça s'achète par 12, qu'il n'était pas obligé de prendre le paquet de 24 pinces... Je ne le vois pas, mais je sens qu'il sourit. Le mien de sourire n'est qu'une façade. Il va me demander de retirer mon haut. Je vais galérer à cause de la laisse qui est accrochée au radiateur. Il faut qu'il m'aide, pas le choix. Je n'ai pas à le supplier de le faire, c'est déjà ça. Et me voilà dans la tenue que je redoutais le plus. Quasi nue. Je ne sais pas comment il réagit face à mon physique. Je n'ai pas grand-chose d'une jolie fille. Je pense à ce moment-là qu'il remarque que je vais tomber... je tremble. Il me caresse le dos. Il va se faire doux sur mes fesses. Et gentiment me dire que je peux me calmer, que tout va bien, qu'il continue à être fier de sa chienne. Je souris, autant que j'y arrive. Et une pince va venir attraper mon téton gauche à une vitesse incroyable. Le pincement fait mal, mais la douleur s'atténue assez vite. Et il va en mettre d'autres, sur les deux seins. Nous sommes loin du compte. Et il va en accrocher encore entre mes cuisses. En souriant je lui dis qu'il n'est pas possible qu'il trouve encore de la place. Je suis étonnée par la vitesse à laquelle il les accroche. Celles aux seins se font douloureuses. Et un cri m'échappe lorsque l'une d'elle va glisser et tomber. En glissant, la morsure m'a fait mal. Il me demande de me faire plus discrète, qu'il ne veut absolument pas m'entendre. « Oui Monsieur ». Et la cravache va entrer en jeu. Et il va la faire aller sur les pinces que j'ai entre les jambes. C'est douloureux, mais en même temps plutôt excitant, je dois bien l'admettre. Je me mets même à aimer les sensations que cela me procure. Il me répète que décidément, ces pinces ne valent rien...

Sur la chatte, peut-être... mais sur les seins, elles font leur job.

Sa cravache va s'abattre sur mes fesses,... mais il maîtrise, c'est plus pour le contact avec ma peau que pour me faire souffrir. Il me demande de me relever. J'ai besoin de m'appuyer sur le lit. Je tiens à peine debout, tenir l'équilibre est difficile. Je lui dis que je sens que je pourrais tomber. Je vais m'avancer et appuyer une cuisse contre le radiateur.

J'avais posé sur le lit en arrivant, une écharpe et ma jolie paire de menottes. Il m'avait demandé d'apporter de quoi me lier les mains. Il va choisir les menottes, me les attacher dans le dos. J'ai les jambes écartées, il continue à jouer de la cravache sur les pinces. Je suis tellement stressée et paniquée que j'en ai la bouche complètement sèche. Je suis incapable de parler, lui répondre tourne à l'épreuve. Je vais lui demander de me chercher un verre d'eau.

Et là... je réalise que j'ai les mains dans le dos. Je comprends mieux pourquoi il ne s'est pas fait prier.... Je vais dépendre de lui, ça ne me déstresse pas du tout. Il va revenir de la salle de bain. Et me dire « penche toi ». c'est encore pire que ce que je redoutais. Il a posé le verre sur le rebord de la fenêtre. Je suis une chienne, n'est-ce pas ? Alors je me contenterai de boire comme ça... Il me guide à peine, me dis juste de me pencher encore...Il tient le verre. Dans mes relations précédentes, j'avais toujours refusé cette humiliation là. Je me rends compte que ça n'est pas si terrible que ça... Et me voilà, à plonger ma langue dans le verre et à tenter d'humidifier cette bouche est qui est plus sèche que le désert du Sahara.

Il va me relever et me faire prendre deux ou trois gorgées « normalement », il a bien compris que dans l'état dans lequel je me trouve, laper dans le verre n'a pas suffit. Je vais mieux, je le remercie. Il se fait plus tendre. Il va embrasser mon épaule. Je penche ma tête contre lui. Je remarque alors qu'il n'est pas aussi grand que je l'avais imaginé. Je lui dis que je commence à aller mieux, je commence à me détendre. Il me demande si je ne regrette pas d'être venue. Oh que non, je ne le regrette pas, je suis heureuse d'être là, malgré mon état d'anxiété intense. Il est dans mon dos, je suis toujours maintenue debout par le radiateur. Il va coller son érection dans mes mains. Au travers de son jeans, je la sens, très dure... Il va ouvrir son jeans. Et je vais avoir dans la main une queue qui me semble démesurée. Je le caresse doucement du bout des doigts, avec mes deux mains, prises dans les menottes.

Il me dit qu'on va passer aux choses sérieuses. Et me demande où en est le décompte des punitions. Je me souviens du nombre, mais pas des motifs, en tout cas pas tous. 10+5+15+5... les 15 c'est pour lui avoir tenu tête, ça je m'en souviens. Mais pas les autres. L'idée d'oublier ça me fait complètement paniquer. Je vacille. Il me tient par le bras. Il me demande de me mettre à genoux sur le lit. Il va m'enlever mes menottes et m'ordonner de me mettre à quatre pattes, le dos cambré, le cul offert. J'ai toujours les pinces entre les cuisses, il va les faire tomber en les malmenant avec la cravache. Jusqu'à la dernière. Je suis en train d'offrir mon cul à sa punition. Je dois les compter et le remercier. Il va choisir d'en finir avec celle des 15 coups. Et je vais les compter un par un. Ils seront plus ou moins appuyés. Certains font très mal. Et je pars en avant, j'essaie de me dérober. Mais je compte, et lui dis « Merci Monsieur » après chaque claquement de la cravache. Je reprends mon souffle, je me remets en position et j'attends que s'abattent les coups suivants. Il va les enchaîner plus ou moins vite. Mais les 4 derniers vont s'abattre avec force et rapidité. Je suis presque couchée sur le ventre pour tenter d'atténuer la douleur. Il me dit que je n'avais qu'à utiliser le code, si c'était trop insupportable. Je lui réponds que je ne tiens pas à l'utiliser. Je serrerai les fesses, les dents, tout ce que je peux serrer mais que je ne veux pas le prononcer. Il me dit de ne pas hésiter, qu'il ne me le reprocherait pas.

Encore une fois à me demander si ça va bien. Oui, non.. je ne sais plus. Il m'invite à m'allonger sur le dos, il me dit que ça va me permettre de me détendre un petit peu. Ma respiration se calme... il me caresse. Et... Aïe !!! Une pince vient agripper un téton. Et les pinces vont s'enchaîner elles aussi. Il en met plusieurs, vite. Et quand elles tombent, elles font encore plus mal qu'au moment où elles mordent la peau. Je l'entends me chuchoter... « OH zut, elles tombent, tant pis pour toi, elles reviennent encore une fois »..

Et à nouveau des pinces sur la chatte... et la cravache qui va jouer avec ... Et il va se déshabiller... et me demander de prendre mon Maitre en bouche. Je me relève un peu, me tourne vers lui. Je crois que je ne cache rien de ma stupeur quand je me rends compte que sa queue entre à peine dans ma bouche. J'ai de nouveau la bouche sèche. Et ça rend la fellation encore plus difficile qu'elle ne l'est déjà. Je vais le branler un peu. Ma main entourant sa queue, mes doigts ne se rejoignent pas ! Je l'entends me dire que sa chienne est une divine suceuse. Il va même aller jusqu'à s'allonger doucement... Je lui laisse de la place pour s'installer. Mon foulard a bougé. Je le préviens que je vais le remettre en place. Je l'enlève en gardant les yeux fermés. Il va me dire qu'il m'autorise à regarder sa queue. A regarder l'objet avec lequel je vais m'apprêter à donner du plaisir à mon Maître. Mais que mes yeux ne sont autorisés à ne regarder que sa queue. Je m'exécute, j'obéis, avec une grande curiosité ! Effectivement ! Je lui dis qu'elle est magnifique et que d'ailleurs elle l'est beaucoup trop à mon goût. Ma phrase le fait rire. « Ah bon ? Et pourquoi ça ? »... Parce que, Monsieur... C'est à mon cul que je pense !

Je frissonne en entendant « nous verrons cela ». Il a alors une autre requête, celle de me caresser, sans cesser de le sucer. J'ai tellement stressé que mon vagin est complètement sec.... Il va prendre le verre, et faire couler un peu d'eau. J'ai le réflexe d'arrêter de me caresser pour me concentrer sur le sexe énorme que j'ai dans la bouche. Je vais prendre mes mains pour le caresser. Il va m'attraper le poignet et me faire comprendre de continuer à me caresser. Mais il se laisse emporter par la fellation et ne remarque pas que je ne me caresse plus.

Je remets mon foulard. Et me penche vers lui. Il ne réagit pas à mes caresses. Mais je sens bien que sa queue se gonfle. Il va me demander à plusieurs reprises de m'appliquer mieux que ça. Ben zut... je n'ai pourtant pas l'impression d'être aussi nulle que ça. Mais par moment, il s'abandonne aux caresses de ma langue, à ma bouche qui tente tant bien que mal à monter et descendre sur sa queue. Je le prends en bouche, le plus profondément possible. Il va me dire que si je continue je vais réussir à le faire jouir. Et j'y compte bien. Alors je ne calme pas mes caresses, je garde le rythme... Il va me prévenir que sa jouissance arrive. Me laisse-t-il le choix de me retirer ou pas ? Il me demande où je veux qu'il jouisse, je vais lui répondre qu'il le fasse où il veut. « Ton cul ? » Mais comme il ne bougera pas, je vais le garder en bouche. Il va déverser sa liqueur sur ma langue. Je vais le lécher encore, tout doucement, très lentement, je me fais la plus douce possible. Au bout de quelques instants, il me demandera de m'arrêter.

Il se relève, va un instant à la salle de bain. En revenant, il va me dire de me mettre à plat ventre. Il me questionne : ai-je envie de continuer les punitions que j'avais mérité ou doit-il s'arrêter pour aujourd'hui. Je les ai méritées, et je préfère qu'il continue aujourd'hui ? Je suis assez tête en l'air pour renouveler l'exploit pour les prochaines rencontres. J'aime autant ne pas les cumuler. Je n'ai pas le temps de finir ma phrase que je suis déjà obligée de compter. « Uuunnn ! Merci Monsieur »... il me reste à avoir 19 coups, je ne sais pas du tout si je vais prendre les 20 ou pas. Il ne prendra pas son temps, les coups vont défiler assez vite. Pour certaines séries, je n'ai pas le temps de le remercier, je les compte à la suite. Je rampe sur le lit pour éviter les coups.... Alors il s'arrête. Je prends quelques courtes secondes pour me remettre en place. Et tout de suite les coups suivants tombent. Il a expédié la punition.

Il regarde mes fesses, il les caresse doucement.... Elles chauffent mais la douleur ne reste pas longtemps et n'est pas si insupportable que ça. Il remarque des traces dans mon dos. Et me demande très surpris qui a fait ça. Personne. Vraiment personne, je ne comprends pas d'où viennent ces marques. Mais ça m'intrigue, il n'est pas le premier à me dire que j'ai des marques dans le dos, d'habitude on me demande qui est le vilain qui m'a griffé. Et à chaque fois, je réponds : personne. Je me vide de tout enthousiasme. J'ai des marques. Elles ne sont pas récentes. Je le réalise aujourd'hui. Je n'avais pas.fait le rapprochement, je pensais que mon mauvais épisode avait totalement disparut. Il le comprend aussi. Je lui avais dit que je pourrais bien paniquer à cause de cette expérience malheureuse.... Je demanderai la prochaine fois si elles sont encore là, et alors oui, ça sera bien ça. Il est d'accord avec ma requête et je le trouve super compréhensif. Et sinon... je n'en ai aucune idée !... Il rit quand je lui dis « je m'appelle Marie ! Tout miracle est donc possible ! »

Et il va continuer à me caresser les fesses. Elles ne sont déjà plus rouges, ... il m'explique qu'il n'a pas besoin de punition pour cravacher ce cul d'enfer. A mon « nooooonnnn Monsieur » il va répondre « oooooh que si ! ». Et me préciser que d'ailleurs, pendant la punition, il restait des zones blanches, il n'avait pas fait rougir tous les centimètres de ma peau. Je lui réponds que ça n'est pas possible. Si si... Et sa main va caresser les endroits où la peau est restée blanche. 


Il bouge, je cois qu'il s'installe au pied du lit. Il me demande de me relever les fesses et de me mettre dans la position d'une vraie chienne. Il revient et se met à mes pieds. Et la cravache va tomber, par petits à-coups, c'est excitant, très. Et puis elle va se faire plus claquante. Je vais m'avancer lorsqu'elle se fait plus douloureuse. Mais à chaque fois, je serre les dents et me remets en position. Il va s'amuser à me dire qu'il ne fait pas les choses avec symétrie. Qu'il faut claquer encore là... ; et là... et là... dit-il en posant sa main sur ma peau... Et qu'il reste du "blanc"... là... et là... et là...Il a bougé, le voilà à côté de moi. Je profite du moment de répit. Qui ne dure pas, et la cravache s'abat en quelques coups rapides mais plutôt intenses.. plutôt très très intenses... je pars en avant, je me recroqueville... et je prononce le code « 'rouge ». Il s'arrête aussitôt. Les derniers coups m'arrachent des sanglots. Je cherche son contact.


Je m'excuse en apaisant mes larmes, je ne voulais pas le prononcer. Je suis une bien piètre soumise à l'avoir dit à la première rencontre. Il me dit que ça n'est pas dramatique et qu'il respecte ma douleur. Il me dit de m'allonger... que je me repose un peu... Il va s'installer dans mon dos. J'ai mon bras le long de mon corps. Et au bout de quelques minutes, encore une pince ! J'ai toujours les yeux bandés et c'est à chaque fois la surprise ! Surtout qu'il fait ces gestes avec une rapidité qui m'impressionne à chaque fois.


 Il m'ordonne de me mettre sur le dos, de relever mes jambes le plus possible. De les maintenir comme ça avec mes mains. Et de ne pas bouger. Et les pinces vont à nouveau venir s'accrocher à ma chatte. Il arrive même à me pincer autour de l'anus. Il en pose sur l'intérieur de mes cuisses. Il en met de nouveau le maximum. Il les accroche même entre elles, histoire que ça fasse poids et que les pincements tirent sur les lèvres de ma chatte. Et il va en retirer avec la cravache, mais les dernières, il va prendre soin de les retirer à la main... en prenant bien garde à pincer davantage en les faisant glisser pour les enlever... Mais il ne va pas les abandonner pour autant, elles feront encore un passage sur mes seins. Mais là il ne va pas me ménager. Il me fait vraiment très mal, il les aide à pincer avec ses doigts, je sanglotte à nouveau... et demande à ce que ça s'arrête en prononçant « rouge »... Je suis déçue d'avoir dû le prononcer une 2ème fois. Je lui dis que je me déçois profondément. Il va me répondre gentiment que je suis parfaite, qu'il a peut-être été un peu violent avec moi, pour une première fois.

Il est l'heure pour lui de partir. Une plainte de ma part... "Déjà ?"... Et là, le ton de sa voix tonne. Que je ne râle surtout pas !! Il me rappelle que j'étais en retard !!

Et il m'annonce, que pour :

-le retard,

-le bas troué,

-les porte-jarretelles absents,

-l'oubli des pinces,

-2 ou 3 Monsieur oubliés,

-pour ne pas m'être souvenue du motif des punitions qui étaient annoncées...

Que pour tous ces motifs-là... je ne le verrais pas !


Je reste muette. Je ne dis plus un mot. Je suis déçue. Profondément déçue. Je ne suis pas sans image, puisqu'il m'avait envoyé une photo de lui quelques jours plus tôt.... Mais bon, quelle greluche je fais !... Il a raison, j'accepte la sanction.


Il s'approche doucement... et me chuchotte « tu ne dis plus rien ? »... "Si, ça va"... Je suis déçue, mais c'est comme ça. Je suis toujours allongée sur le côté. Sa main va claquer un coup sur ma fesse. Il me dit que j'ai un cul qui demande à être cravaché non stop.

Pour m'être recroquevillée pas contente, il me dit que je devrais mériter 5 coups supplémentaires. Je lui réponds que pour le retarder encore un peu, je lui en réclamerai alors 5 de plus...


Je vais prendre deux coups que je n'aurai pas du tout entendu arriver. Et il va me dire que non, j'ai raison, il doit y aller. Nous avons tous les deux de la route à faire. Il me dit que je dois être très prudente, qu'il fait nuit depuis longtemps et qu'il tient à ce que je rentre tranquillement.

Il me demande si j'ai réglé la chambre en arrivant. Je lui réponds que non, l'apprentie m'a ouvert tout simplement, on règle à la patronne en partant. Il me pose 50 euros sur la table et me dit qu'il file, que je n'aurai qu'à payer en partant. Je dois lui téléphoner une fois dans ma voiture. Il me dit au revoir avec plein de tendresse dans la voix. Il sort, ferme la porte et je l'entends qui s'en va dans le couloir.

La chambre donne sur la rue et pourtant, je ne regarderai pas par la fenêtre, et puis les volets sont quasiment fermés. De toutes façons, il doit s'en douter, et je pense qu'il s'arrange pour remonter la rue sans que je puisse le voir.

Et me voilà, toute seule... je me change, tranquillement. Je me sens un peu lasse... pas le bourdon, mais la désagréable impression de passer « de tout à rien ». Je fais le tour de la chambre pour attrouper tout ce que je dois ranger. Je souris, il n'aura pas utilisé toutes les pinces. J'ai même l'impression qu'il s'agissait d'un lot de 36 !... Je récupère tout, j'enfourne dans mon sac. Je fais ça tranquillement. Il me faut me calmer avant de reprendre la route... c'est plus prudent.

Je quitte la chambre. Mon téléphone sonne. Il s'inquiète parce que je ne l'ai pas encore appelé. Non, tout va bien, je suis dans l'escalier, je règle la facture et je m'en vais. Il me dit pour ne pas que je me perde encore, que je dois tourner à gauche, juste là où je suis garée.... Ça me fait sourire, il m'avait donc vue arriver à l'hôtel.

Je paie, je sors, remonte la rue, je monte dans ma voiture. Je l'appelle... Il va prendre la température de notre après-midi. Chercher à savoir ce que j'ai vécu, ressenti... Et il va me surprendre encore quand il va me dire, « je sais exactement ce que tu as ressenti, ce que l'on vit quand on perd ses moyens au point de devenir incapable de répondre à une question. Oui, Marie, j'étais à ta place... avant. »